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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 15:54

Donc, selon ce pathétique apparatchik, Macron prendrait plus de voix à Droite qu'à Gauche. 

Mais bien sûr! 

C'est pour ça que le candidat socialiste est en cinquième position et peut être même derrière le candidat écolo qui est mille fois plus crédible que Valls et le reste de la bande primaire.

Inutile d'expliquer à un politicard comme Cambadélis que les gens de Droite apprécient un candidat qui s'expriment avec sincérité sur un programme cohérent et responsable pour la France. Il y a trop de mots qu'il ne peut ni comprendre, ni même concevoir.

Vivement que les socialistes, les vrais, virent cet apparatchik qui fait honte à un parti qui , autrefois, était dirigé par M Rocard.

 

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 15:24

L'ancien complice d'Hollande me partage pas que son bilan désastreux dont il fut l'instigateur avec lui.

Il y a aussi sa manière si fausse de faire de la politique, de donner des leçons à tout le monde alors qu'il ferait mieux de ne pas la ramener. 

Et puis, il y a ce mépris pour les gens du Peuple . Il ne parle pas des sans-dents mais des illettrés , des alcooliques...

On lui explique que les gens du Peuple qu'il méprise tant, ce sont ceux qui se lèvent tôt, qui ont une vraie culture, qui sont souvent les premiers à subir les conséquences de ce que font les banquiers d'affaire, qui savent ce que sont la solidarité, les valeurs du travail...

Au lieu de parler avec ce mépris insupportable des gens qui font honneur à notre pays, il ferait mieux de s'occuper de des riches copains du monde des affaires et des médias qui paraissent bien mal placés pour nous donner des leçons . 

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 15:21

Comme d'habitude chez les socialistes , ce n'est jamais sincère , ni clair.

Donc, aujourd'hui , nous apprenons que savapasmieux pourrait soutenir - c'est à dire couler - la campagne de son complice Macron.

Bien évidemment, c'est démenti ce qui ajoute comme d'habitude de la confusion au flou.

Et oui, le petit monde des socialistes , c'est ça!

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15 janvier 2017 7 15 /01 /janvier /2017 10:34

Bon, c'est vrai, nous sommes souvent durs avec les socialistes et c'est parfaitement justifié.

Les dirigeants actuels de ce parti nécessaire à la vie démocratique française sont d'une médiocrité affligeante, les projets sont ahurissants de débilité, le bilan du quinquennat est un désastre dans tous les domaines.

Mais loin des petits apparatchiks, des idéologues enfermés dans une bulle, des théoriciens malsains ou des technocrates qui se complaisent dans des statistiques plus ou moins manipulées, il ya les militants du PS;

Celles et ceux qui , comme nous, sont des citoyens engagés que nous connaissons et apprécions au delà de nos choix.

Alors, bien sûr , nous n'irons pas voter aux primaires socialistes car ça n'aurait pas de sens vu la nullité des candidats et de leurs projets improvisés et incohérents. 

Mais nous saluons celles et ceux qui vont assurer, comme nous l'avons fait, vont quand même tenir un bureau de vote.

 

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13 janvier 2017 5 13 /01 /janvier /2017 20:50

Alors, nous savons que n’avons pas fini d’entendre des âneries et des caricatures comme les adorent les démagogues de tous bords et notamment les socialistes en perdition qui , au surplus, ont l’indécence de vouloir faire croire qu’ils défendraient les Services Publics alors qu’ils en sont les destructeurs.

Personnellement, je suis fonctionnaire d’Etat au Minefi depuis 1982 et j’estime être légitime à m’exprimer sur ce sujet qui me tient particulièrement à cœur d’autant que je suis un farouche partisan d’un Etat fort.

Vous trouverez ensuite les informations qui sont mises en ligne sur le site de F Fillon dans le cadre de la préparation du programme présidentiel. Bien évidemment, nous sommes loin des approximations et autres mensonges dans lesquels se complaisent les socialistes et autres frontistes qui préfèrent évidemment raconter n’importe quoi sur les autres plutôt que de parler d’eux.

Ce que je pense

Je suis partisan d’un Etat fort. Parce que je suis né à peine 15 ans après la seconde guerre mondiale, parce que je m’intéresse à l’histoire, je sais que la démission de l’Etat mène toujours à la catastrophe et que ce sont toujours celles et ceux qui sont les plus exposés qui subissent les conséquences les plus graves.

Je viens du monde ouvrier et je ne l’oublierai jamais. Je ne supporte donc pas ces donneurs de leçons, ces bobos et autres petits bourgeois qui théorisent tout, qui délirent sur tout, qui sont incapables de comprendre la vie quotidienne des gens qui ne vivent pas dans leur petite bulle.

Alors, pour ces idéologues de la bien-pensance, la vie serait si simple.

Alors, il faut les voir s’apitoyer sur les délinquants qu’ils considèrent d’abord comme des « victimes de la société » ou vouloir distribuer des milliards qui n’existent pas, confondant la nécessaire solidarité qui permet à ceux qui y ont droit de s’en sortir et l’assistanat qui les maintient la tête sous l’eau.

Alors, oui, je suis partisan d’un Etat fort et c’est une réelle souffrance de voir le désastre actuel.

Désastre de voir les forces de l’ordre se dévouer au maximum pour notre sécurité et constater que ceux qu’ils arrêtent sont libérés juste après et que ce sont eux qui doivent se justifier.

Désastre de voir la situation dans les hôpitaux faute d’une politique claire et juste.

Désastre de voir la situation dans les administrations dîtes non prioritaires qui n’arrivent plus à effectuer leurs missions

Désastre de voir l’Education Nationale subir les délires idéologiques au point que le nivellement vers le bas devient la règle et que les établissements privés sont demandés comme jamais…notamment par des socialistes pour qui l’école publique , c’est bien…pour les autres

Désastre de voir Pôle emploi qui n’est pas en mesure d’apporter l’aide attendue à celles et ceux qui recherchent un emploi…

Et tout le reste est à l’avenant.

La vérité, c’est que nous n’avons jamais été aussi mal dirigés que par ces technocrates et ces idéologues qui se disent « socialistes »

Ces politicards n’ont aucune idée de ce que sont des services publics efficaces au service des citoyens.

Je suis fonctionnaire et je me sens humilié d’être dirigé par de tels incompétents.

A ce stade, je dois rappeler que mon premier engagement politique fut au PS pendant quelques temps dans les années 90. Je croyais qu’ils voulaient améliorer la vie des gens des milieux populaires. J’ai vite réalisé qu’ils s’en moquaient totalement. Je ne parle pas des militants qui pour la plupart sont très respectables et sincères mais des ceux qui confisquent ce parti, ces apparatchiks et autres théoriciens insensés.

Alors, oui, je suis de Droite parce que mon cheminement politique m’amène à privilégier celles et ceux qui font preuve de bon sens, sont en prise réelle avec la société et recherchent les bons équilibres.

J’ai passé l’âge d’être naïf et de suivre aveuglément des mots d’ordre. J’ai l’âge de savoir ce que je considère bon pour mon pays et pour les gens du peuple dont je suis.

Selon moi, les valeurs cardinales sont l’autorité, la responsabilité, la liberté, la solidarité au service des citoyens.

Il est désespérant pour des fonctionnaires de voir leurs dirigeants n’avoir aucune autorité, aucune vision d’avenir, aucune stratégie …prendre des décisions contradictoires, improvisées, idéologiques ou irréfléchies.

Fonctionnaire, je suis de Droite car la première qualité d’un responsable politique doit être l’autorité et la seconde la clarté. Comment pourrais-je être socialiste !

Je souhaite ensuite que l’Etat assume ses missions d’une manière lisible.

Je ne suis pas un libéral si cela revient à laisser faire et à ce que ce soit la loi de la jungle. En revanche, je souhaite que l’Etat accomplisse avec autorité ses missions régaliennes et impose avec autorité un environnement favorable dans l’ensemble des domaines ou son action directe n’est pas nécessaire ;

Cette vision est aux antipodes de celle des idéologues socialistes qui veulent intervenir partout et le font mal. Ajoutons que cela donne une image désastreuse de l’impuissance de l’Etat et participe au gaspillage des deniers publics.

Enfin, je souhaite que l’Etat respecte les fonctionnaires et j’exerce d’ailleurs des activités syndicales car le respect est une notion importante à mes yeux.

Bien sûr, cela implique que les fonctionnaires soient reconnus y compris pécuniairement et qu’ils disposent des moyens nécessaires pour accomplir leurs missions.

Mais le respect, c’est aussi le soutien des responsables politiques aux fonctionnaires et comment ne pas comprendre les policiers et les membres des forces de l’ordre. Le respect, c’est donner des directives claires et cohérentes. Le respect, c’est ne pas avoir l’indécence de dire que tout va bien ou mieux alors que la situation actuelle est un désastre !

Autorité, responsabilité et respect. Voilà pourquoi je ne suis pas un fonctionnaire de Droite mais un fonctionnaire et de Droite – neutralité oblige – et pourquoi j’ai mille fois plus confiance en F Fillon qu’en n’importe lequel de ses adversaires et que je suis plus inquiet actuellement quand je constate la situation actuelle que je ne pourrais l’être dans quelques mois quand nous aurons un Président et des Ministres responsables et agissant avec lucidité et l’autorité nécessaire.

Eric Bitbol

 

 

 

#StopIntox

Les faits pour rétablir la vérité.

 

 

Sur le site de François Fillon ( 12 janvier 2017)

François Fillon entend réduire le nombre d’agents publics de 500.000. La gauche et l’extrême-droite agitent le chiffon rouge. Voici sept bonnes raisons pour lesquelles cette réduction est non seulement possible mais souhaitable :

1. Aucun fonctionnaire ne perdra son emploi :

Aucun fonctionnaire ne sera licencié : les fonctionnaires ont un emploi à vie et ils ne le perdront pas. Ce que propose François Fillon, c’est d’augmenter le temps de travail et de ne pas remplacer tous les agents publics partant à la retraite (240.000 par an).

2. Aucun poste de policier, de magistrat, ni de militaire ne sera supprimé :

Ces fonctions ne seront pas concernées par la réduction du nombre d’agents publics. Au contraire, François Fillon prévoit d’augmenter les moyens consacrés à la Sécurité, la Défense et la Justice de 12 milliards d’euros.

3. Le chiffre de 500.000 est réaliste :

La France compte 5,6 millions agents publics : une réduction de 500.000 correspond à une baisse de 8,9% des effectifs. Étalé sur cinq ans, cela représente une baisse de moins de 2% par an. Cette réduction ne concernera pas seulement les fonctionnaires titulaires, mais intègrera les agents publics contractuels.

A noter, les effectifs de la fonction publique ont augmenté de 36% entre 1980 et 2008 (deux fois plus vite que le privé).

 

4. Il n’y aura pas de dégradation de la qualité du service public :

Dans le même temps, les 3 fonctions publiques (Etat, territorial, hospitalière) repasseront aux 39 heures. La qualité du service public ne sera pas affectée.

5. D’autres pays l’ont fait avec succès :

En moins de 5 ans, David Cameron a réduit les effectifs publics au Royaume-Uni de plus de 500.000 postes : dans le même temps, le chômage est passé de 8.3 à 5.4 % et le Royaume-Uni a retrouvé la croissance. Aujourd’hui au Portugal, 9 départs en retraite sur dix ne sont pas renouvelés.

6. La France compte un nombre de fonctionnaires plus élevé que chez nos voisins :

En France, sur 100 actifs, 23 travaillent dans le secteur public. C’est deux fois plus qu’en Allemagne ou en Suisse.

7. Des avantages pour les fonctionnaires :

En contrepartie de la réduction du nombre de postes, les fonctionnaires pourront bénéficier de deux avantages :

  • une hausse de leur pouvoir d’achat : grâce à l’augmentation du temps de travail à 39h hebdomadaires et l’ouverture d’une négociation sur les perspectives de carrière.
  • remédier aux nombreuses désorganisations causées par le passage à 35h, en particulier à l’hôpital.

Enfin, il ne faut pas perdre de vue que l’objectif de cette réduction du nombre d’agents publics est de redonner des marges de croissance au pays en réduisant le poids de la dépense publique (de 57% aujourd’hui, à 50% du PIB), qui constitue aujourd’hui l’une des raisons de notre perte de compétitivité. C’est toute notre économie qui profitera de cette mesure, et donc les Français.

Fonctionnaire, je suis de Droite et je soutiens F Fillon
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13 janvier 2017 5 13 /01 /janvier /2017 07:45

Il suffit de voir quelques extraits présentés comme les plus intéressants du débat d'hier pour comprendre qu'avec ces sept là, nous sommes très loin de l'époque ou les socialistes l'étaient encore ! 

Franchement, quel fut le spectacle d'hier.

Une girouette énervée qui restera le principal complice d'un politicard si nul qu'il n'ose même pas se représenter et qui aura dévoyé le 49al3 comme jamais

Un idéologue borné qui dépasse les bornes du crétinisme à chaque fois qu'il parle et qui, espérons-le, retournera bientôt en Suisse

Un politicien sectaire qui ruinerait encore plus la France que ses adversaires socialistes au nom d'une idéologie d'un autre âge.

Un fanfaron qui a toujours raison

Une candidate qui finalement sera celle qui aura été la plus raisonnable malgré quelques dérapages sur la fumette

Un narcisse sans saveur

Un bouffon sans talent

Voilà ce qu'est le PS d'aujourd'hui. L'ancien parti de Rocard, de Mendès, de Poperen et de Bérégovoy.

Ce parti qui est confisqué par des idéologues malsains et des technocrates aussi imbus d'eux -mêmes qu'ils sont incompétents. 

Franchement, nous ne pouvons qu'espérer que les militants sincères qui sont encore dans ce parti sauront faire le ménage après la débâcle annoncée et méritée des présidentielles et des législatives

.

 

 

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11 janvier 2017 3 11 /01 /janvier /2017 22:04
PARIS – LA VILLETTE

Réunion publique à Paris – La Villette, Hall B

dimanche 29 janvier à 15h

20 avenue de la Porte de la Villette
métro : Porte de la Villette – sortie périphérique Porte de la Villette

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11 janvier 2017 3 11 /01 /janvier /2017 21:51

C'est clair qu'avec F Fillon, nous sommes a des années-lumières de l'hypocrisie socialiste et des ambiguïtés frontistes.

Sincère quand il se présente simplement et franchement. C'est sûr que des politicards comme Hollande, Valls...dont les méthodes sont le mensonge et le reniement ne peuvent évidemment pas comprendre.

Sincère quand il affine son projet présidentiel qu'il présentera ensuite définitivement. Il est ahurissant que ses adversaires frontistes et socialistes ne puissent concevoir qu'un projet puisse évoluer avant d'être présenté aux français. 

Mais, c'est vrai que ceux là ne font que dans la démago grossière et qu'ils ne croient même pas eux-mêmes ce qu'ils racontent . La preuve; si Hollande n'ose même pas se représenter, c'est à cause de son bilan si affligeant mais aussi parce que c'est la sanction de sa malhonnêteté envers les français qui savent qu'il n'a absolument pas respecté son projet.

Voilà, personnellement, je préfère un responsable politique comme F Fillon à ces politicards qui se complaisent dans les mensonges et les outrances stupides.

 

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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 21:46
Projet de budget 2017 : toujours plus d’investissements et des économies sans précédent

Toutes nos félicitations à Valérie Pécresse et à son équipe.

 

Lundi 09 janvier 2017 Communiqué de presse Budget 2017 : pour une Région conquérante, exemplaire et réconciliée

Le budget 2017 confirme la volonté de la Région Ile-de-France de devenir une collectivité d'investissement pour l'avenir des franciliens. La stratégie budgétaire régionale pour 2017 est marquée par la poursuite de la rationalisation de nos dépenses de fonctionnement (- 3,9%) et une forte hausse des investissements (+17,7%). En deux ans, la région affichera une économie de dépenses de fonctionnement de 253 M€, soit 21€ par francilien et 64% des économies annoncées dans notre engagement de campagne. Cet effort est d'autant plus marqué que la région subit dans le même temps une baisse de ses ressources de 227,3 M€ depuis 2015, dûe à une baisse des dotations de l'Etat et à la hausse de notre contribution à la péréquation en faveur des collectivités locales à 69 M€. Parallèlement, la région Ile-de-France se montre offensive en allant chercher les fonds européens. Elle mobilisera 184 M€ en 2017, huit fois plus qu'en 2015. Ce budget 2017 est au service de trois ambitions : - Une région conquérante, innovante et créative pour renforcer son attractivité. Les investissements ont été augmentés en faveur du développement économique (+34,8%), de la recherche (+24,6%) et de la transition numérique pour accélérer la mise en place de la smart Region. Ce budget permettra de soutenir 3 000 entreprises dans leur démarche de développement et d'innovation grâce aux dispositifs adoptés en 2016. Enfin, la Région a pour objectif d'accompagner 4 000 apprentis supplémentaires et de permettre le retour à l'emploi de 125 000 chômeurs. - Une région exemplaire, propre et décarbonnée. C'est d'abord un effort sans précédent d'investissement de 738 M€ dans les infrastructures pour financer la révolution des transports franciliens : modernisation du matériel roulant, lancement du plan anti-bouchon et du plan bus et mise en œuvre du plan vélo Il s'agit d'une hausse de 23% par rapport à 2016, soit 12€ de plus par usager régulier. A ceci s'ajoutent les moyens dépensés en faveur de l'amélioration de la qualité de l'air. Les investissements seront multipliés par 3 par rapport à 2015 (remplacement des vieilles chaudières polluantes, aide au renouvellement des véhicules polluants des artisans et commerçants, fonds propreté...). - Une région réconciliée, qui assure l'égalité des chances et qui réduit les fractures territoriales et sociales. En 2017, 505 M€ seront investis pour améliorer la qualité de vie des lycéens et des professeurs, soit 206 € de plus par lycéen qu'en 2016. 13 chantiers de construction, d'extension ou de rénovation seront lancés cette année. La jeunesse, les sports et les loisirs bénéficieront d'un investissement en hausse de 54,7%, porté à 46,4 M€ au total. L'objectif est d'encourager la pratique sportive en comblant les carences en équipements sportifs de proximité. La culture sera l'un des axes majeurs de la politique d'inclusion régionale, pour favoriser son accès à tous les franciliens, partout en Ile-de-France. En 2017, son budget augmentera de 12% par rapport à 2015. C'est 60% de l'engagement pris au cours de la campagne électorale qui est déjà réalisé. La Région poursuivra le rééquilibrage de ses investissements vers les zones rurales et soutiendra de manière plus ciblée et plus lisible le renouvellement urbain afin de réduire les fractures territoriales. La Région poursuivra sa politique anti-ghetto en ne finançant plus de logements très sociaux dans les communes qui en comptent plus de 30%. La région Ile-de-France est désormais un acteur de premier plan du renforcement de la sécurité des franciliens grâce à 21 M€ d'investissements pour la sécurité, soit une hausse de 11,7% (sécurisation des lycées pour financer des travaux aux abords des établissements ; soutien aux forces de l'ordre pour lancer la mise en œuvre du bouclier de sécurité proposé aux communes ; impulsion régionale vis-à-vis du STIF pour garantir une meilleure sûreté dans les transports franciliens).

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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 10:56

L'occasion pour l'ancien président de l'Assemblée nationale de revenir sur l'interview de François Fillon, la veille au journal de 20 heures de TF1 pour souligner combien François Fillon avait « cette volonté centrale de sauvegarder la solidarité nationale ». Et combien le programme qu'il présentait aux Français n'était « ni âpre, ni brutal mais réaliste, celui de la vérité ». D'où l'importance, aux yeux de Bernard Accoyer de profiter de la campagne présidentielle pour expliquer aux Français, après les mensonges de François Hollande et de la gauche, « la vraie situation de la France et les seules réformes réalistes qui permettront de surmonter les problèmes pour que demain il y ait plus de pouvoir d'achat et plus de solidarité ». Interrogé sur la réforme du système de Santé proposé par François Fillon, Bernard Accoyer a rappelé quel était le souci et l'objectif de François Fillon : « il veut sauver l'assurance maladie. Le Gouvernement socialiste prétend que celle-ci est à l'équilibre des comptes, c'est faux », remarque Bernard Accoyer pour qui la situation actuelle est telle « qu'elle est ne permet pas de garantir pour l'avenir que cette dégradation progressive s'interrompra. François Fillon veut garantir que les soins continueront d'être couverts, mieux remboursés en clarifiant ce qui se fait aujourd'hui dans la confusion entre la Sécurité sociale, l'assurance maladie obligatoire et les assurances complémentaires. Comment voulez-vous construire si les choses ne sont pas claires », interroge le député-maire d'Annecy-le-Vieux (Haute-Savoie). Revenant sur la fibre gaulliste de François Fillon et sa foi chrétienne qui le conduiraient à ne jamais prendre une décision contraire à la dignité humaine, Bernard Accoyer a été sensible à ces propos. « Cela rappelle d'où nous venons, ce principe qui est celui d'une solidarité que l'on a un petit peu oublié et qui est une solidarité humaine qui passe au-dessus des solidarités d'Etat, des solidarités administratives. Au-delà de ces mécanismes administratifs de solidarité, il y a cette volonté centrale chez François Fillon qui est celle de sauvegarder la solidarité nationale. Il l'a déjà démontré par le passé. Si aujourd'hui les retraites sont payées c'est parce qu'il y a eu deux réformes extrêmement courageuses des retraites. Toutes deux ont été conduites par François Fillon en 2003 et en 2010 sous les critiques d'une violence extrême de la gauche », rappelle-t-il. Questionné sur le programme de François Fillon, Bernard Accoyer a estimé qu'il était « réaliste. C'est le programme de la vérité. François Hollande a menti aux Français en 2012 lorsqu'il a nié la crise, lorsqu'il a annoncé que demain ce serait mieux. Or, on constate aujourd'hui qu'il y a 600 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en catégorie A depuis 2012. Il ment aujourd'hui quand il dit que tout va bien. Ce mensonge est devenu insupportable », juge l'ancien président de l'Assemblée nationale pour qui « si on veut construire quelque chose il faut d'abord dire la vérité. Il faut savoir que le mensonge est plus violent que la vérité parce qu'à un moment ou à un autre on est confronté à la vérité », ajuste-t-il Pour le Secrétaire général des Républicains « il y a une vérité toute simple : la France doit faire les réformes que tous les pays comparables au nôtre ont déjà conduit depuis longtemps. Nous sommes restés à la traîne parce que la gauche n'a pas dit la vérité et a induit les Français dans l'erreur. La campagne de François Fillon est une campagne de vérité. » Enfin, revenant sur la lutte contre le terrorisme, Bernard Accoyer estime que « la réponse sécuritaire du Gouvernement n'a pas été à la hauteur de la situation ». Le député de la Haute-Savoie déplore l'absence de décisions entre l'attentat à Charlie Hebdo et les terribles attentats de Paris. « Cette longue période n'a pas été l'occasion pour le Gouvernement de prendre les décisions qu'il a pourtant prises ensuite ». Et d'estimer que pour la sécurité des Français « il y a des mesures plus efficaces, plus rapides à prendre » que cela soit sur contrôle, le renseignement, la chaine pénale sans oublier des mesures et des règles partagées par tous les états de l'Union européenne, notamment en matière d'immigration. « Tout cela doit être remis à plat pour améliorer la sécurité de nos compatriotes dans ce monde de plus en plus dangereux. Raison de plus pour avoir un homme d'Etat d'expérience qui connaît le monde, qui connaît les questions de sécurité tel que François Fillon », juge Bernard Accoyer.

L'occasion pour l'ancien président de l'Assemblée nationale de revenir sur l'interview de François Fillon, la veille au journal de 20 heures de TF1 pour souligner combien François Fillon avait « cette volonté centrale de sauvegarder la solidarité nationale ». Et combien le programme qu'il présentait aux Français n'était « ni âpre, ni brutal mais réaliste, celui de la vérité ». D'où l'importance, aux yeux de Bernard Accoyer de profiter de la campagne présidentielle pour expliquer aux Français, après les mensonges de François Hollande et de la gauche, « la vraie situation de la France et les seules réformes réalistes qui permettront de surmonter les problèmes pour que demain il y ait plus de pouvoir d'achat et plus de solidarité ».

Interrogé sur la réforme du système de Santé proposé par François Fillon, Bernard Accoyer a rappelé quel était le souci et l'objectif de François Fillon : « il veut sauver l'assurance maladie. Le Gouvernement socialiste prétend que celle-ci est à l'équilibre des comptes, c'est faux », remarque Bernard Accoyer pour qui la situation actuelle est telle « qu'elle est ne permet pas de garantir pour l'avenir que cette dégradation progressive s'interrompra. François Fillon veut garantir que les soins continueront d'être couverts, mieux remboursés en clarifiant ce qui se fait aujourd'hui dans la confusion entre la Sécurité sociale, l'assurance maladie obligatoire et les assurances complémentaires. Comment voulez-vous construire si les choses ne sont pas claires », interroge le député-maire d'Annecy-le-Vieux (Haute-Savoie).

Revenant sur la fibre gaulliste de François Fillon et sa foi chrétienne qui le conduiraient à ne jamais prendre une décision contraire à la dignité humaine, Bernard Accoyer a été sensible à ces propos. « Cela rappelle d'où nous venons, ce principe qui est celui d'une solidarité que l'on a un petit peu oublié et qui est une solidarité humaine qui passe au-dessus des solidarités d'Etat, des solidarités administratives. Au-delà de ces mécanismes administratifs de solidarité, il y a cette volonté centrale chez François Fillon qui est celle de sauvegarder la solidarité nationale. Il l'a déjà démontré par le passé. Si aujourd'hui les retraites sont payées c'est parce qu'il y a eu deux réformes extrêmement courageuses des retraites. Toutes deux ont été conduites par François Fillon en 2003 et en 2010 sous les critiques d'une violence extrême de la gauche », rappelle-t-il.

Questionné sur le programme de François Fillon, Bernard Accoyer a estimé qu'il était « réaliste. C'est le programme de la vérité. François Hollande a menti aux Français en 2012 lorsqu'il a nié la crise, lorsqu'il a annoncé que demain ce serait mieux. Or, on constate aujourd'hui qu'il y a 600 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en catégorie A depuis 2012. Il ment aujourd'hui quand il dit que tout va bien. Ce mensonge est devenu insupportable », juge l'ancien président de l'Assemblée nationale pour qui « si on veut construire quelque chose il faut d'abord dire la vérité. Il faut savoir que le mensonge est plus violent que la vérité parce qu'à un moment ou à un autre on est confronté à la vérité », ajuste-t-il

Pour le Secrétaire général des Républicains « il y a une vérité toute simple : la France doit faire les réformes que tous les pays comparables au nôtre ont déjà conduit depuis longtemps. Nous sommes restés à la traîne parce que la gauche n'a pas dit la vérité et a induit les Français dans l'erreur. La campagne de François Fillon est une campagne de vérité. »

Enfin, revenant sur la lutte contre le terrorisme, Bernard Accoyer estime que « la réponse sécuritaire du Gouvernement n'a pas été à la hauteur de la situation ». Le député de la Haute-Savoie déplore l'absence de décisions entre l'attentat à Charlie Hebdo et les terribles attentats de Paris. « Cette longue période n'a pas été l'occasion pour le Gouvernement de prendre les décisions qu'il a pourtant prises ensuite ». Et d'estimer que pour la sécurité des Français « il y a des mesures plus efficaces, plus rapides à prendre » que cela soit sur contrôle, le renseignement, la chaine pénale sans oublier des mesures et des règles partagées par tous les états de l'Union européenne, notamment en matière d'immigration.

« Tout cela doit être remis à plat pour améliorer la sécurité de nos compatriotes dans ce monde de plus en plus dangereux. Raison de plus pour avoir un homme d'Etat d'expérience qui connaît le monde, qui connaît les questions de sécurité tel que François Fillon », juge Bernard Accoyer.

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