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15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 05:50

En reportant des charges qui lui incomvent sur les collectivités tout en cassant les dotations d'Etat, le gouvernement tente de faire croire qu'il serait vertueux au plan budgétaire et qu'il baisserait la fiscalité directe , c'est à dire l'impôt surle revenu.

 

Mais non seulement le total des prélèvements...continue d'augmenter dans la vie réelle mais ce qui n'est plus assumé par l'Etat doit l'être par les collectivités locales qui sont ainsi fragilisées.

 

Tous ceux qui ont du bon sens le savent  et il n'y a finalement que les derniers idéologues socialistes pour soutenir ce gouvernement hypocrite et menteur. 

 

Rappelons que les socialistes soutiennent ce gouvernement et se disent souvent contre la baisse des dotations décidés par ce gouvernement . Plus hypocrite que ça!!!!

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15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 05:45

La pitoyable Ministre de la Culture qui n'est qu'une technocrate interchangeable a enfin eu l'idée d'intervenir dans le conflit social....

 

Curieusement, au bout de 28  jours, celui-ci semble en perte de vitesse.

 

La prochaine fois, elle pourrait intervenir préventivement.

 

En tout cas, gràce à elle, RTL et Europe 1, ces radios dont elle méprise tant les auditeurs comme tout bon socialiste élitiste genre "j'aime pas les sans dents " gagnent certainement des points.

 

C'est sans doute dommage pour la propagande socialiste mais ça , c'est plutôt une bonne chose

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15 avril 2015 3 15 /04 /avril /2015 05:40

Le local de l'UMP de Toulouse a été vandalisé suite à une attaque de fachos , à priori d'extrême gauche .

 

Nous rappelons que la violence n'a pas droit de cité dans notre Démocratie et notre République même si nous ne sommes pas surpris des méthodes fascistes de ces nervis gauchistes qui sont à placer au même niveau que ceux qui leur sont si proches à l'extrême droite.

 

 

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 20:27

Nous sommes , par nature, favorables à assurer au mieux la sécurité des français. Nous sommes , par nature, vigilants sur le respect des libertés publiques et privées. 

L'objectif est de veiller au bon équilibre entre ces deux valeurs essentielles.

Alors, si la Loi en discussion va dans un sens que nous soutenons, nous n'avons cependant aucune confiance dans ce gouvernement qui , rappelons -le , est socialiste et nous n'avons pas oublié  la sinistre époque de Mitterrand. 

En fait, tout serait plus sain si cette Loi était mise en application par un gouvernement de Droite, qui ne pourrait pas être suspecté de vouloir attenter aux droits et libertés et qui serait réellement soucieux d'assurer la sécurité.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 20:25
Salles de shoot : une politique de santé publique contre la drogue doit être basée sur la prévention et la répression pour être efficace

Marisol Touraine a réussi à faire voter dans le cadre de sa Loi Santé le financement et l'ouverture de salles de shoot.

Rarement une loi aura aussi mal porté son nom, en effet où se situe la "santé" dans ce texte où il n'y a ni volet éducation ni volet prévention par rapport aux drogues.

Quel message délivre cette loi aux jeunes : si un lieu pour se droguer est autorisé, la drogue est par conséquent autorisée !

L'ancien Premier ministre, Jean-Marc Ayrault, avait été à l'initiative de la première salle de shoot ouverte à Paris, Gare du Nord, par décret. Le conseil d'Etat avait alors tranché sur l'illégalité des “lieux de consommation de drogue à moindre risque”.

La proposition de la ministre des Affaires sociales et de la Santé est donc une nouvelle fois contraire à la loi qui impose de lutter contre le fléau de la drogue, de sa vente à de sa consommation et à l'encontre des traités internationaux que la France a ratifié notamment la convention de New-York sur la lutte contre les trafics et la diffusion des drogues.

Enfin la question de la responsabilité pénale en cas d'overdose dans ces salles de shoot se pose. Le précédent à Montpellier en 1995 où une salle de shoot a été ouverte à Montpellier, à l'initiative de l'association Asud-Montpellier, est en la matière à méditer.

Après l'overdose d'une mineure l'expérience a été arrêtée et à l'époque, un des responsables de l'association avait été mis en examen pour “facilitation à autrui de l'usage de stupéfiants”.

Le procès n'a cependant jamais eu lieu, l'éducateur mis en examen étant mort avant la fin de l'instruction.

Le texte de madame Touraine se heurte ainsi à des risques juridiques majeurs et nous met à mal dans le cadre du respect de nos traités internationaux, toutes les autorités de santé publique dénoncent ces lieux d'addiction les salles de shoot n'étant pas la bonne façon de lutter contre les drogues.

Une politique de santé publique contre la drogue doit être basée sur la prévention et la répression pour être efficace et non sur le laxisme et l'abdication.

Valérie DEBORD
Secrétaire nationale à la Famille

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 20:24
Le réveil tardif du Ministère du travail à l'origine d'un nouveau couac gouvernemental

Alors que le Ministre du travail semble avoir pris conscience des difficultés des employeurs, le Président de la République et le Premier Ministre l'obligent à rétropédaler.

François Rebsamen a enfin compris que le compte pénibilité est un frein à l'emploi. Ainsi, devant la CAPEB, il a déclaré que les entreprises n'auront pas à remplir de fiche individuelle et que s'il faut supprimer des critères, ils le seront.

Le compte pénibilité, dans sa version actuelle, est une véritable usine à gaz, inapplicable dans les entreprises, notamment les petites. Ces entreprises souffrent, alors même que la France est en début de reprise économique grâce à la conjoncture mondiale. Tout doit être mis en œuvre pour soutenir les entreprises de notre pays afin qu'elles recréent de l'emploi. Le compte pénibilité est un de ces freins, et le Ministre du travail s'en est bien rendu compte, tardivement.

Et pourtant, alors que le Premier Ministre fait la promotion de l'entreprise, qu'il dit aimer les entreprises, qu'il souhaite faciliter les investissements, il ne rate pas une occasion pour revenir à son dogmatisme socialiste. Il a ainsi contredit le Ministre du travail et l'obligé à faire marche arrière.

Les entreprises de notre pays ont besoin de confiance, de stabilité et de visibilité sur l'avenir. Cet énième couac gouvernemental démontre que ni François Hollande, ni Manuel Valls, ne possèdent ces vertus.

L'UMP appelle le Gouvernement à sortir de ces belles paroles et d'en arriver aux actes. Il faut redonner aux entreprises les possibilités de créer de l'emploi, et cela passe notamment par la remise en cause du compte pénibilité dans sa forme actuelle.

Gérard CHERPION
Délégué National au Travail et à l'Emploi
Député des Vosges

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 20:22
Droits d'asile : les Français condamnés à payer la facture du laxisme socialiste«
Marisol Touraine affirme qu'il n'y a pas d'assistanat. Et pourtant un rapport prouve le contraire ! C'est celui formulé par la Cour des comptes dans un relevé d'observations provisoires ». Au lendemain des déclarations de la ministre des Affaires sociales, les porte-parole de l'UMP, Isabelle Le Callennec et Sébastien Huyghe ont tenu à rétablir la vérité, celui sur le coût du droit d'asile des demandeurs d'asile et des déboutés qui ne cesse de flamber d'année en année en raison d'une décision politique prise par Manuel Valls, alors ministre de l'Intérieur, le 28 novembre 2012. Ce coût est estimé à plus de 2 milliards d'euros en 2013, soit 13 724 euros par demandeur ! « Manuel Valls n'a rien trouvé de mieux que de prévoir une régularisation, quasi automatique, des sans-papiers au bout de 5 ans sur le territoire », explique Sébastien Huyghe précisant que seulement 1% des demandeurs d'asile déboutés est réellement éloigné. La très grande majorité reste dans l'espoir de tenir cinq ans et d'obtenir ce droit d'asile.


Dans les faits, le système fabrique 40 000 sans-papiers chaque année qui ont un coût exorbitant pour la société en termes humains et financiers (notamment par l'allocation et le droit au logement, l'aide médicale gratuite, la scolarité).
« Lionel Jospin avait porté cette automaticité à dix ans et Nicolas Sarkozy y avait mis fin en préférant le cas par cas pour justement éviter la prime à la clandestinité » rappelle Sébastien Huyghe. Au nom de l'UMP, il demande la publication de ce relevé d'observations provisoires de la Cour des Comptes « afin de connaître tous les tenants et tous les aboutissants ».

S'appuyant sur ce document, Isabelle Le Callennec critique le laxisme de François Hollande et de son Gouvernement qui aboutit à ce système dévoyé qui fait de la France un des pays ls plus attractifs pour l'immigration clandestine. Si pour la Cour des Comptes, la solution est de « réduire le montant des allocations mensuelles versées aux demandeurs d'asiles (…) et d'exécuter les obligations de quitter le territoire français pour les personnes déboutées », Isabelle Le Callennec rappelle l'un des messages des Français à l'occasion du scrutin des départementales : « Il y a trop d'assistanat. Des gens ne vivent que des prestations sociales », souligne-t-elle souhaitant que « les bénéficiaires du RSA en capacité de travailler puissent, au nom des droits et des devoirs, rendre quelques heures aux collectivités locales. On ne peut plus se permettre d'avoir des personnes qui refusent des offres ouvertes alors que 400 000 demandes ne sont pas pourvues.

Si le nombre de bénéficiaires du RSA a augmenté de 17% ces trois dernières années, Isabelle Le Callennec pointe la responsabilité sur l'exécutif socialiste qui, pendant trois ans, a matraqué fiscalement les Français et les entreprises, diminuant fortement le pouvoir d'achat des uns et la capacité d'investissement des autres. « Il faut recréer de l'emploi, de la croissance et du travail. Depuis trois ans c'est entièrement l'inverse. Et il a fallu attendre trois longues années pour que le Gouvernement s'en rende compte. Ce sont trois années perdues. Alors lorsque le patron du PS, Jean-Christophe Cambadelis explique qu'il serait temps que le Medef se bouge, c'est un peu gonflé car pendant trois ans le gouvernement socialiste ne s'est préoccupé ni de la croissance, ni de l'emploi, ni du travail », juge Isabelle Le Callennec.

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 20:20

Réforme du Collège : un nouveau nivellement par le bas

 

Vendredi dernier, Najat Vallaud-Belkacem est parvenue à faire adopter par le Conseil Supérieur de l'Education son projet de réforme du collège, malgré l’opposition des principaux syndicats d’enseignants et la consternation des professeurs concernés par le texte.

Difficile de se réjouir, en effet, devant la déconnexion des instances de l'Education nationale face la réalité préoccupante de l'effondrement du niveau scolaire observée chaque jour sur le terrain.

Le constat de la faillite du collège unique est unanime : la ministre l'a rappelé, la France détient le triste record d'avoir le système éducati

f le plus inégalitaire de l'OCDE, c'est-à-dire le moins capable de corriger les inégalités sociales existant entre les élèves. L’école a depuis longtemps cessé d’être ce tremplin social que le monde nous enviait autrefois. Et le collège est communément identifié comme son "maillon faible".

C'est une évidence : on ne gère pas la diversité depuis le milieu, pas plus qu’on n’aboutira à l’épanouissement de chaque talent à travers une uniformisation des élèves. Au collège, après une école primaire strictement focalisée sur la transmission des fondamentaux, les élèves devraient pouvoir s'engager dans un parcours adapté à leurs capacités et leurs intérêts : dispositifs de remédiation, numérique, arts, sports, découverte des métiers, humanités, sciences, etc. ce qui imposerait, autour d'un noyau dur défini par le socle commun, une véritable diversification de l'offre éducative à l'échelle régionale. Au lieu de quoi, la réforme proposée ne prévoit que davantage d'uniformité.

Il s'agit de supprimer tout ce qui dépasse (allemand LV1, classes européennes, langues anciennes), et de sacrifier au saupoudrage d'enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), vieille lune pédagogiste maintes fois testée et abandonnée depuis 1973. Les horaires de français, de mathématiques ou d'histoire serviront de variable d'ajustement et seront donc encore une fois réduits à la portion congrue.

Frappée au coin de l'idéologie et du déni du réel qui caractérise trop souvent la politique gouvernementale, cette réforme fait in fine le jeu des établissements privés, qui s'attendent à recevoir des milliers de candidatures supplémentaires, motivées tant par le désir de classes bilingues, de cours de latin et de grec que par le constat de la déshérence des collèges publics, où des activités occupationnelles à prétexte vaguement éducatif vont prendre le pas sur l'enseignement disciplinaire. La réforme Haby, en 1975, avait engagé la funeste dynamique de nivellement par le bas qui conduit l'enseignement secondaire de notre pays vers l'abîme.

Après la réforme de Najat Vallaud-Belkacem, il ne restera aux parents d'élèves et professeurs que le système de garderie le plus onéreux du monde, et leurs yeux pour pleurer.

 

Madeleine BAZIN DE JESSEY Secrétaire nationale aux Programmes de formation

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 20:20

Réforme du Collège : un nouveau nivellement par le bas

 

Vendredi dernier, Najat Vallaud-Belkacem est parvenue à faire adopter par le Conseil Supérieur de l'Education son projet de réforme du collège, malgré l’opposition des principaux syndicats d’enseignants et la consternation des professeurs concernés par le texte.

Difficile de se réjouir, en effet, devant la déconnexion des instances de l'Education nationale face la réalité préoccupante de l'effondrement du niveau scolaire observée chaque jour sur le terrain.

Le constat de la faillite du collège unique est unanime : la ministre l'a rappelé, la France détient le triste record d'avoir le système éducati

f le plus inégalitaire de l'OCDE, c'est-à-dire le moins capable de corriger les inégalités sociales existant entre les élèves. L’école a depuis longtemps cessé d’être ce tremplin social que le monde nous enviait autrefois. Et le collège est communément identifié comme son "maillon faible".

C'est une évidence : on ne gère pas la diversité depuis le milieu, pas plus qu’on n’aboutira à l’épanouissement de chaque talent à travers une uniformisation des élèves. Au collège, après une école primaire strictement focalisée sur la transmission des fondamentaux, les élèves devraient pouvoir s'engager dans un parcours adapté à leurs capacités et leurs intérêts : dispositifs de remédiation, numérique, arts, sports, découverte des métiers, humanités, sciences, etc. ce qui imposerait, autour d'un noyau dur défini par le socle commun, une véritable diversification de l'offre éducative à l'échelle régionale. Au lieu de quoi, la réforme proposée ne prévoit que davantage d'uniformité.

Il s'agit de supprimer tout ce qui dépasse (allemand LV1, classes européennes, langues anciennes), et de sacrifier au saupoudrage d'enseignements pratiques interdisciplinaires (EPI), vieille lune pédagogiste maintes fois testée et abandonnée depuis 1973. Les horaires de français, de mathématiques ou d'histoire serviront de variable d'ajustement et seront donc encore une fois réduits à la portion congrue.

Frappée au coin de l'idéologie et du déni du réel qui caractérise trop souvent la politique gouvernementale, cette réforme fait in fine le jeu des établissements privés, qui s'attendent à recevoir des milliers de candidatures supplémentaires, motivées tant par le désir de classes bilingues, de cours de latin et de grec que par le constat de la déshérence des collèges publics, où des activités occupationnelles à prétexte vaguement éducatif vont prendre le pas sur l'enseignement disciplinaire. La réforme Haby, en 1975, avait engagé la funeste dynamique de nivellement par le bas qui conduit l'enseignement secondaire de notre pays vers l'abîme.

Après la réforme de Najat Vallaud-Belkacem, il ne restera aux parents d'élèves et professeurs que le système de garderie le plus onéreux du monde, et leurs yeux pour pleurer.

 

Madeleine BAZIN DE JESSEY Secrétaire nationale aux Programmes de formation

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13 avril 2015 1 13 /04 /avril /2015 05:58

Encore bravo aux fameux communicants d'Hollande qui le feront passer dimanche prochain...en première partie des guignols dans une émission spéciale...

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