Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
20 février 2017 1 20 /02 /février /2017 10:02

Je conseille un bon moyen de retrouver son esprit critique et ses facultés de raisonnement à ceux qui sont sous perfusion médiatique du corbeau avarié, de l'immonde, de l'abérration  de l'ORTSocialiste que certains appellent, pour rire j'imagine, le service public pluraliste, BFMacron...et autres médias de conditionnement et de propagande.

Donc, vous ne regardez plus, vous n'écoutez plus ces croassements et autres bavardages de ces crétins incurables qui imaginent que vous ne pouvez pas penser par vous mêmes et qui veulent vous apprendre à le faire. Pathétiques adeptes des régimes totalitaristes ou les dictateurs n'aiment la presse qu'aux ordres.

Vous vous faites une opinion par vous mêmes en comparant ce qui se dit, en analysant la situation d'une manière objective, en étudiant le fond et vous vous faites une idée de la situation.

Vous verrez que ça fait du bien . , . un peu d'air frais contre la pollution mentale!

Partager cet article
Repost0
19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 16:59

Franchement Mélanchon est mille fois meilleur qu'Hamon .

Il ne nous ménage pas , ce qui est de bonne guerre, mais aux attaques contre les personnes dans lesquelles se vautrent les dirigeants de ce qui reste du PS, il parle de programme.

Et disons-le , Mélanchon est mille fois moins sectaire et intolérant que le candidat socialiste que seuls les sondages annoncent comme étant plus haut que lui, ce que personne ne remarque.

 

 

Partager cet article
Repost0
19 février 2017 7 19 /02 /février /2017 16:41

Dans la mesure ou je refuserai toujours de condamner un Homme simplement parce qu'il est jugé parles corbeaux , je considère que F Fillon n'a rien fait d'illégal.

Je suis ce sujet non pas en me décervelant devant des médias exclusivement à charge mais en conservant mon esprit critique pour me faire une idée.

Chacun son truc mais je m'en porte mieux que les amateurs de lynchage.

Ce que je pense, c'est que les gens - et j'en fais naturellement partie - n'accepte plus les dérives du petit monde des élus.

En ce qui concerne les parlementaires, il faudra revoir le système des collaborateurs mais aussi des réserves parlementaires...

Il faudra aussi revoir le montant des sommes, des indemnités qui sont trop élevées .

F Fillon n'est pas un escroc . Certains entretiennent des confusions bien sélectives avec des affaires bien réelles. Non, il est victime d'une campagne médiatico- politique à charge dirigée exclusivement contre lui . . 

D'ailleurs, c'est un sujet qui revient très fréquemment: pourquoi lui et lui seul est il mis en cause? Et oui, même les partisans du tous pourris se posent cette question et ça les amène à considérer que les autres , eux , sont donc protégés, ce qui encore pire!

 

 

Partager cet article
Repost0
18 février 2017 6 18 /02 /février /2017 17:12

La colonisation, ce sont des faits historiques.

Pendant l'avant première guerre mondiale, la Droite était revancharde et voulait la guerre contre l'Allemagne.

En revanche, la Gauche ne voulait pas la guerre et c'était la colonisation qui avait ses préférences.

Ceux qui en doutent peuvent relire ce que disaient les Ferry, Gambetta, Jaurès, Blum et autres Mitterrand . Ils en auront la nausée.

Oui, l'histoire est complexe et, en ce qui concerne la colonisation, il n'y a pas les bons vertueux d'un côté et les affreux de l'autre et les socialistes feraient bien de s'en souvenir.

C'est bien de sortir des préjugés !

Partager cet article
Repost0
18 février 2017 6 18 /02 /février /2017 17:05

Vous pouvez lire le corbeau avarié ou l'immonde. Vous pouvez regarder l'ORTSocialiste ou BFMacron...mais si vous êtes légitimement écoeurés , vous pouvee lire l'argumentaire ci-après.

 

 

 

Les termes de « coup d’Etat institutionnel » définissent parfaitement les manœuvres employées à l’encontre de François Fillon, pour tenter de l’empêcher, à tout prix, de concourir à l’élection présidentielle.

Le pouvoir a dévoyé le droit pénal et la procédure pénale pour tenter de détruire la réputation de son principal adversaire ; le but de cette vaste opération étant de favoriser l’élection d’un successeur déjà coopté, faux nez d’une candidature sociale-démocrate ou sociale-libérale qui était d’avance vouée à l’échec.

 

 

 

 

Le candidat de la droite et du centre était jugé dangereux car il avait déjà recueilli la confiance de plusieurs millions de ses compatriotes lors de primaires irréprochables. Il fallait donc, pour tenter de le discréditer, lui imputer à délit des faits qui ne tombent manifestement pas sous le coup de la loi. L’allégation d’un « détournement de fonds publics » est contraire aux termes du code pénal et incompatible avec les principes constitutionnels.

 

Contraire aux termes du Code pénal d’abord : le texte qui définit ce délit, l’article 432-15, ne vise, comme auteurs possibles de celui-ci, qu’une « personne dépositaire de l’autorité publique » ou « chargée d’une mission de service public », qu’un « comptable public » ou un « dépositaire public », qualités que n’a évidemment pas un parlementaire.

Au surplus, il est plus que douteux que les sommes versées à un parlementaire pour organiser son travail de participation au pouvoir législatif et au contrôle du pouvoir exécutif puissent être qualifiés de fonds publics.

Contraire aux principes constitutionnels ensuite : à celui de la séparation des pouvoirs, seul garant du caractère démocratique des institutions et obstacle à la tyrannie. L’indépendance dont dispose le parlementaire, y compris dans la gestion de ses crédits destinés à rémunérer ses collaborateurs, n’est pas un simple caprice. C’est le préalable nécessaire à l’une de ses missions constitutionnelles qu’est le contrôle de l’exécutif. Pour préserver le principe de séparation des pouvoirs, les assemblées disposent comme elles l’entendent, de leurs crédits de fonctionnement. Incriminer l’emploi discrétionnaire de ces dotations serait s’en prendre à l’exercice de la fonction d’un parlementaire, s’attaquer par là-même au principe constitutionnel de l’indépendance des assemblées parlementaires, corollaire de la séparation des pouvoirs.Pour l’exécutif, prétendre contrôler l’utilisation des dotations d’un parlementaire au moyen d’une procédure pénale enfreint donc ce principe.

Dans le cas de François Fillon, l’atteinte à la Constitution est d’autant plus grave que la procédure pénale est engagée illégalement. En admettant qu’il y ait eu violation du règlement d’une assemblée parlementaire, une enquête n’aurait pu être menée que par le bureau de l’assemblée en cause. C’est bien d’ailleurs la procédure qu’a retenue le Parlement européen pour sanctionner une candidate à l’élection présidentielle française.

A plus forte raison le pouvoir ne pouvait-il laisser le parquet national financier (PNF) se saisir d’une telle enquête (ou l’y inciter). Il saute aux yeux que les faits allégués contre le candidat n’entrent pas dans les chefs de compétence énumérés par l’article 705 du code de procédure pénale (loi du 6 décembre 2013) de ce ministère public : non seulement ces faits ne répondent à la définition d’aucune des infractions mentionnées dans ces chefs de compétence, mais encore nul ne saurait prétendre sérieusement qu’ils présentent « une grande complexité », au sens dudit article.

C’est encore au prix d’une double erreur que le président de la République se retranche derrière l’indépendance de la justice. D’abord, les officiers du ministère public ne sont pas « la justice », la Cour européenne des droits de l’homme leur dénie l’appartenance à l’autorité judiciaire. Ensuite, ils ne sont pas statutairement indépendants du gouvernement, mais subordonnés au ministre de la justice.

Il y a pire.Le bras armé du pouvoir,en l’espèce, est ce parquet national financier.Il est un organe d’exception au sens technique du terme, d’un organe à compétence dérogatoire au droit commun, limitativement définie.  Faut-il rappeler sa genèse, à savoir le refus du pouvoir de se conformer au fonctionnement régulier du ministère public, faute d’avoir réussi à museler un procureur général de la Cour de Paris trop indocile à ses yeux(il est loin le temps où les tenants de ce pouvoir socialiste remettaient en cause le caractère exceptionnel de certaines juridictions, comme les cours d’assises spéciales en matière de terrorisme, sans parler de la Cour de sûreté de l’Etat).

Dès le début de l’enquête visant François Fillon, le parquet national financier s’est comme ingénié à justifier la suspicion légitimement née de cette origine : la précipitation avec laquelle l’enquête a été ouverte, sans même le respect d’un délai suffisant pour lire à tête reposée le Canard enchaîné laisse perplexe ; surtout, la publication dans Le Monde par deux « journalistes » familiers du président de la République, de son secrétaire général etc., des procès-verbaux de l’enquête à peine sont-ils clos, au mépris de secret de l’enquête, démontre irréfutablement une collusion entre les officiers du ministère public ou leurs délégataires et ces « investigateurs ». Le même journal combat d’ailleurs les moyens de défense constitutionnels invoqués par la défense de François Fillon en faisant appel à un civiliste…

Dans leur acharnement, ceux qui ont ourdi cette machination ont pourtant négligé ou sous-estimé un risque : celui d’une action engagée contre l’Etat, en application de l’article L.141-1 du Code de l’organisation judiciaire, en réparation du dommage causé par le fonctionnement défectueux du service public de la justice au cas de faute lourde. En effet, il ne se discute pas que la violation du secret de l’enquête ou de l’instruction en matière pénale constitue un fonctionnement défectueux du service public de la justice et que le rôle actif ou passif du parquet dans cette violation caractérise une faute lourde.

Il reste que la tentative de déstabilisation et de disqualification du candidat de la droite et du centre à l’élection présidentielle est sans précédent par sa violence et par l’implication ouverte de l’Etat.

Sans doute dans le passé d’autres candidats ont-ils été visés par des attaques venant pour la plupart des mêmes journaux : affaire Markovic, diamants de Bokassa, affaire Clearstream. Mais jamais le pouvoir en place n’avait orchestré la campagne avec une pareille impudence.

Au-delà du seul piétinement de la présomption d’innocence, principe dont s’enivrent constamment les zélateurs de l’actuel pouvoir, pour refuser d’endiguer la délinquance ordinaire, ce sont tous les principes essentiels d’un Etat démocratique qui sont bafoués.

Au-delà de la défense du candidat François Fillon, aucun juriste ne peut cautionner ce dévoiement voulu et partisan des institutions, préalable à un « coup d’Etat permanent ». Ni la magistrature ni la police n’ont vocation à servir de supplétifs à un pouvoir moribond.

C’est pourquoi les juristes signataires de cet appel entendent alerter leurs compatriotes sur cette forfaiture et ses dangers pour la démocratie. Ce n’est pas une poignée de substituts militants trop zélés qui feront obstacle aux millions de Français qui ont déjà choisi démocratiquement François Fillon comme candidat de la droite et du centre. Nous n’acceptons pas un coup d’Etat institutionnel, au profit de l’héritier désigné par le pouvoir.

Philippe FONTANA 
Avocat au barreau de Paris

André DECOCQ 
Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

Geoffroy de VRIES 
Avocat au barreau de Paris

Yves MAYAUD 
Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

Serge GUINCHARD 
Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas, ancien recteur

Pauline CORLAY 
Professeur agrégé des facultés de droit, avocat au Conseil d’Etat et à la Cour de cassation

Guillaume DRAGO 
Professeur à l’Université Panthéon-Assas Paris II

Guillaume MASSE 
Avocat au barreau de Paris

Jean-Luc ELHOUEISS 
Avocat au barreau de Paris, Maître de conférences

Georges BONET 
Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

Raymonde VATINET 
Professeur émérite à l’Université Panthéon-Assas

Anne-Marie LE POURHIET 
Professeur de droit public à l'université Rennes-I

Bernard de FROMENT 
Avocat au barreau de Paris


Read more at http://www.atlantico.fr/decryptage/francois-fillon-appel-juristes-contre-coup-etat-institutionnel-geoffroy-vries-philippe-fontana-andre-decocq-2967969.html#j6WpEFqWgXwarPxi.99

Partager cet article
Repost0
17 février 2017 5 17 /02 /février /2017 20:04
Je vous invite à vous inscrire en ligne sur le site Fillon 2017 et à nous rejoindre au meeting de F Fillon, le vendredi 24 février 2017 à partir de 19H30
 
au Le Moulin Brulé
47 avenue Foch Maisons-Alfort 94700 France
Partager cet article
Repost0
17 février 2017 5 17 /02 /février /2017 19:33

C'est vrai que le petit banquier présente bien dans son genre et il a eu son petit moment de gloire, bien aidé par les médias et quelques donateurs bien cachés.

Mais, voilà, le financier a un bilan bien désastreux avec hollande et sa bande.

Mais voilà, le financier a de plus en plus de mal à dissimuler qu'il est entouré d'opportunistes et son histoire de recrutement de candidats aux législatives par internet est simplement ridicule

Mais voilà, le financier a du mal à dissimuler que son programme, c'est dire à chacun ce qu'il veut entendre. Tiens, les gens aiment ça ;;;allez c'est dans mon programme....Bonjour la cohérence. Et franchement, ou est la réflexion! Ce ne sont que des banalités!

Et maintenant, le voilà qui fait pitié à raconter n'importe quoi et à dire tout et son contraire sur la colonisation , le mariage pour tous...On se demande ce qu'il va débiter comme nouvelles " macronneries " ,ce mélange de banalités stupides...

Alors certains ont été attirés par ce petit illusionniste opportuniste.. Il peut encore séduire des socialistes vu la médiocrité d'hamon , mais certainement plus nos électrices et nos électeurs

 

Partager cet article
Repost0
16 février 2017 4 16 /02 /février /2017 18:22

Nous sommes les premiers à soutenir la Police et les forces de l'ordre. Mais, nous ne sommes pas en dehors des réalités et nous savons que certains Policiers ...peuvent commettre des actes condamnables. C'est vrai dans cette profession comme dans d'autres et nous ne généralisons pas.

De même, nous sommes les premiers à considérer qu'une partie de la population des banlieues ou des grandes villes dont Paris est totalement abandonnée par ce gouvernement qui avait tant promis et qui n'a rien fait.

Et nous savons que si l'immense majorité de cette population , souvent récemment arrivée en France, respecte comme les autres français la Loi et que nous sommes tous dans le même bateau, ce n'est pas le cas de certains comme ce n'est pas le cas d'autres français car les trafics , la délinquance existe dans tous les milieux.

Voilà en quelques mots le message qui est le nôtre parce que nous vivons et connaissons nos quartiers, la banlieue, la vraie vie.

C'est aussi pour ça qu'aux côtés des policiers, des habitants des quartiers, nous ne supportons pas ces donneurs de leçons qui se donnent bonne conscience.

 

Lire 

"Nous demandons une vigilance accrue lors des recrutements car les policiers racistes qui posent problème ne sont pas devenus racistes par la dureté de la mission, écrivent les auteurs de la lettre. Il semblerait que le plus souvent, ce soit de jeunes militants issus d'un parti politique bien connu qui se sont engagés pour pouvoir commettre leurs exactions en toute impunité".

n'inspire que de la révulsion lorsque nous savons à quel point les Policiers sont dévoués au service de tous.

Ce n'est certainement pas ainsi qu'on peut apaiser la situation.

Voilà le résultat du laxisme et des mensonges socialistes

 

 

Partager cet article
Repost0
16 février 2017 4 16 /02 /février /2017 17:56

Macron, c'est ça:

Novembre 2016

«Alors oui… en Algérie il y a eu la torture mais aussi l’émergence d’un Etat, de richesses, de classes moyennes, c’est la réalité de la colonisation»

 

Février 2016

La colonisation: crime contre l'humanité

 

Franchement ,comment peut on voter pour un politicien aussi incohérent sur ce sujet comme sur tant d'autres . 

La colonisation est un fait historique qui a concerné à peu près tous les pays et tous les continents depuis l'antiquité. La France a aussi été en partie colonisée pendant son histoire comme l'Espagne...et a colonisé.

Ce sont des faits historiques qui , comme les guerres ou l'esclavage, sont heureusement derrière nous même. 

Nous n'oublions rien, nous connaissons les souffrances de tous, les réalités complexes .

Mais,, alors que nous devons tout faire pour bien-vivre ensemble, pour vivre des relations apaisées, pour vivre un vrai avenir commun, il est consternant qu'un piètre politicard qui ne sait que débiter d'affligeantes banalités n'ait même pas conscience de la stupidité et de l'incohérence de ses propos.

 

 

Partager cet article
Repost0
16 février 2017 4 16 /02 /février /2017 17:48

Jamais nous n'avons eu un Président, élu par erreur, qui aura autant fait honte à la France.

Il ose parler d'exemplarité, celui qui s'est fait rabrouer par une Léonarda, qui nous inflige ses histoires avec ses maîtresses, dont toute la politique n'est qu'un immense désastre , qui n'aura fait que mentir, manipuler et se renier, et qui n'ose même pas se représenter tant il nul et qu'il aura humilié les français en bavassant avec des journalistes dans "un Président ne devrait pas dire ça"

Et c'est un tel politicard qui ose parler d'exemplarité !!!

 

Partager cet article
Repost0