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9 janvier 2017 1 09 /01 /janvier /2017 10:56

L'occasion pour l'ancien président de l'Assemblée nationale de revenir sur l'interview de François Fillon, la veille au journal de 20 heures de TF1 pour souligner combien François Fillon avait « cette volonté centrale de sauvegarder la solidarité nationale ». Et combien le programme qu'il présentait aux Français n'était « ni âpre, ni brutal mais réaliste, celui de la vérité ». D'où l'importance, aux yeux de Bernard Accoyer de profiter de la campagne présidentielle pour expliquer aux Français, après les mensonges de François Hollande et de la gauche, « la vraie situation de la France et les seules réformes réalistes qui permettront de surmonter les problèmes pour que demain il y ait plus de pouvoir d'achat et plus de solidarité ». Interrogé sur la réforme du système de Santé proposé par François Fillon, Bernard Accoyer a rappelé quel était le souci et l'objectif de François Fillon : « il veut sauver l'assurance maladie. Le Gouvernement socialiste prétend que celle-ci est à l'équilibre des comptes, c'est faux », remarque Bernard Accoyer pour qui la situation actuelle est telle « qu'elle est ne permet pas de garantir pour l'avenir que cette dégradation progressive s'interrompra. François Fillon veut garantir que les soins continueront d'être couverts, mieux remboursés en clarifiant ce qui se fait aujourd'hui dans la confusion entre la Sécurité sociale, l'assurance maladie obligatoire et les assurances complémentaires. Comment voulez-vous construire si les choses ne sont pas claires », interroge le député-maire d'Annecy-le-Vieux (Haute-Savoie). Revenant sur la fibre gaulliste de François Fillon et sa foi chrétienne qui le conduiraient à ne jamais prendre une décision contraire à la dignité humaine, Bernard Accoyer a été sensible à ces propos. « Cela rappelle d'où nous venons, ce principe qui est celui d'une solidarité que l'on a un petit peu oublié et qui est une solidarité humaine qui passe au-dessus des solidarités d'Etat, des solidarités administratives. Au-delà de ces mécanismes administratifs de solidarité, il y a cette volonté centrale chez François Fillon qui est celle de sauvegarder la solidarité nationale. Il l'a déjà démontré par le passé. Si aujourd'hui les retraites sont payées c'est parce qu'il y a eu deux réformes extrêmement courageuses des retraites. Toutes deux ont été conduites par François Fillon en 2003 et en 2010 sous les critiques d'une violence extrême de la gauche », rappelle-t-il. Questionné sur le programme de François Fillon, Bernard Accoyer a estimé qu'il était « réaliste. C'est le programme de la vérité. François Hollande a menti aux Français en 2012 lorsqu'il a nié la crise, lorsqu'il a annoncé que demain ce serait mieux. Or, on constate aujourd'hui qu'il y a 600 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en catégorie A depuis 2012. Il ment aujourd'hui quand il dit que tout va bien. Ce mensonge est devenu insupportable », juge l'ancien président de l'Assemblée nationale pour qui « si on veut construire quelque chose il faut d'abord dire la vérité. Il faut savoir que le mensonge est plus violent que la vérité parce qu'à un moment ou à un autre on est confronté à la vérité », ajuste-t-il Pour le Secrétaire général des Républicains « il y a une vérité toute simple : la France doit faire les réformes que tous les pays comparables au nôtre ont déjà conduit depuis longtemps. Nous sommes restés à la traîne parce que la gauche n'a pas dit la vérité et a induit les Français dans l'erreur. La campagne de François Fillon est une campagne de vérité. » Enfin, revenant sur la lutte contre le terrorisme, Bernard Accoyer estime que « la réponse sécuritaire du Gouvernement n'a pas été à la hauteur de la situation ». Le député de la Haute-Savoie déplore l'absence de décisions entre l'attentat à Charlie Hebdo et les terribles attentats de Paris. « Cette longue période n'a pas été l'occasion pour le Gouvernement de prendre les décisions qu'il a pourtant prises ensuite ». Et d'estimer que pour la sécurité des Français « il y a des mesures plus efficaces, plus rapides à prendre » que cela soit sur contrôle, le renseignement, la chaine pénale sans oublier des mesures et des règles partagées par tous les états de l'Union européenne, notamment en matière d'immigration. « Tout cela doit être remis à plat pour améliorer la sécurité de nos compatriotes dans ce monde de plus en plus dangereux. Raison de plus pour avoir un homme d'Etat d'expérience qui connaît le monde, qui connaît les questions de sécurité tel que François Fillon », juge Bernard Accoyer.

L'occasion pour l'ancien président de l'Assemblée nationale de revenir sur l'interview de François Fillon, la veille au journal de 20 heures de TF1 pour souligner combien François Fillon avait « cette volonté centrale de sauvegarder la solidarité nationale ». Et combien le programme qu'il présentait aux Français n'était « ni âpre, ni brutal mais réaliste, celui de la vérité ». D'où l'importance, aux yeux de Bernard Accoyer de profiter de la campagne présidentielle pour expliquer aux Français, après les mensonges de François Hollande et de la gauche, « la vraie situation de la France et les seules réformes réalistes qui permettront de surmonter les problèmes pour que demain il y ait plus de pouvoir d'achat et plus de solidarité ».

Interrogé sur la réforme du système de Santé proposé par François Fillon, Bernard Accoyer a rappelé quel était le souci et l'objectif de François Fillon : « il veut sauver l'assurance maladie. Le Gouvernement socialiste prétend que celle-ci est à l'équilibre des comptes, c'est faux », remarque Bernard Accoyer pour qui la situation actuelle est telle « qu'elle est ne permet pas de garantir pour l'avenir que cette dégradation progressive s'interrompra. François Fillon veut garantir que les soins continueront d'être couverts, mieux remboursés en clarifiant ce qui se fait aujourd'hui dans la confusion entre la Sécurité sociale, l'assurance maladie obligatoire et les assurances complémentaires. Comment voulez-vous construire si les choses ne sont pas claires », interroge le député-maire d'Annecy-le-Vieux (Haute-Savoie).

Revenant sur la fibre gaulliste de François Fillon et sa foi chrétienne qui le conduiraient à ne jamais prendre une décision contraire à la dignité humaine, Bernard Accoyer a été sensible à ces propos. « Cela rappelle d'où nous venons, ce principe qui est celui d'une solidarité que l'on a un petit peu oublié et qui est une solidarité humaine qui passe au-dessus des solidarités d'Etat, des solidarités administratives. Au-delà de ces mécanismes administratifs de solidarité, il y a cette volonté centrale chez François Fillon qui est celle de sauvegarder la solidarité nationale. Il l'a déjà démontré par le passé. Si aujourd'hui les retraites sont payées c'est parce qu'il y a eu deux réformes extrêmement courageuses des retraites. Toutes deux ont été conduites par François Fillon en 2003 et en 2010 sous les critiques d'une violence extrême de la gauche », rappelle-t-il.

Questionné sur le programme de François Fillon, Bernard Accoyer a estimé qu'il était « réaliste. C'est le programme de la vérité. François Hollande a menti aux Français en 2012 lorsqu'il a nié la crise, lorsqu'il a annoncé que demain ce serait mieux. Or, on constate aujourd'hui qu'il y a 600 000 demandeurs d'emploi supplémentaires en catégorie A depuis 2012. Il ment aujourd'hui quand il dit que tout va bien. Ce mensonge est devenu insupportable », juge l'ancien président de l'Assemblée nationale pour qui « si on veut construire quelque chose il faut d'abord dire la vérité. Il faut savoir que le mensonge est plus violent que la vérité parce qu'à un moment ou à un autre on est confronté à la vérité », ajuste-t-il

Pour le Secrétaire général des Républicains « il y a une vérité toute simple : la France doit faire les réformes que tous les pays comparables au nôtre ont déjà conduit depuis longtemps. Nous sommes restés à la traîne parce que la gauche n'a pas dit la vérité et a induit les Français dans l'erreur. La campagne de François Fillon est une campagne de vérité. »

Enfin, revenant sur la lutte contre le terrorisme, Bernard Accoyer estime que « la réponse sécuritaire du Gouvernement n'a pas été à la hauteur de la situation ». Le député de la Haute-Savoie déplore l'absence de décisions entre l'attentat à Charlie Hebdo et les terribles attentats de Paris. « Cette longue période n'a pas été l'occasion pour le Gouvernement de prendre les décisions qu'il a pourtant prises ensuite ». Et d'estimer que pour la sécurité des Français « il y a des mesures plus efficaces, plus rapides à prendre » que cela soit sur contrôle, le renseignement, la chaine pénale sans oublier des mesures et des règles partagées par tous les états de l'Union européenne, notamment en matière d'immigration.

« Tout cela doit être remis à plat pour améliorer la sécurité de nos compatriotes dans ce monde de plus en plus dangereux. Raison de plus pour avoir un homme d'Etat d'expérience qui connaît le monde, qui connaît les questions de sécurité tel que François Fillon », juge Bernard Accoyer.

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